Humeurs citadines

” C’est ça qui est agréable.
Après avoir lu Humeurs citadines, on se prend des envies de flâner, de redécouvrir les rues, d’observer les gens, les coin d’ombre, les maisons.
Malicieux, l’oeil aiguisé, André Klopmann, tel un moderne Restif de la Bretonne, nous fait sourire de nous-même et critique avec grâce, juste ce qu’il faut, nos travers et nos moeurs.
Avec sa loupe poétique, il nous montre, au détour d’une phrase, au croisement d’un chapitre, à l’intersection d’un point-virgule, qu’il aime vraiment sa ville.
Son style rapide, ses trouvailles pleines d’humour nous donnent l’impression que nos pensées ont le pied léger et la démarche gracieuse. ”

Bernard Haller