Genève a connu dans les années 1980 le temps heureux de finances qui permettaient d’acheter des pièces d’art. De Jean Arp, de Max Bill et d’autres artistes majeurs ou moins connus, des sculptures ornent la ville. Quatre parcours sont offerts à la découverte des oeuvres publiques et de plein air, propriétés municipales.
Ce disque a été primé par Le Monde de la Musique, à Paris. C’est l’unique recueil d’un des derniers chantres juifs traditionnels tunisiens, Jacob Bchiri, enregistré à Djerba. Chaque chant fait l’objet d’une recherche sur le sens et les origines. La voix est pointue, l’oud pas toujours précis, les textes interchangeables selon que, dans cette île où depuis des siècles les cultures se côtoient, le chantre s’exprime en hébreu ou en arabe.
L’étonnante histoire de la cloche de Shinagawa: disparue puis retrouvée dans des circonstances romanesques, la cloche précieuse restituée par la Suisse au Japon a contribué à souder les deux pays. Elle est souvent mentionnée lors d’échanges commerciaux ou d’étudiants.
” C’est ça qui est agréable.
Après avoir lu Humeurs citadines, on se prend des envies de flâner, de redécouvrir les rues, d’observer les gens, les coin d’ombre, les maisons.
Malicieux, l’oeil aiguisé, André Klopmann, tel un moderne Restif de la Bretonne, nous fait sourire de nous-même et critique avec grâce, juste ce qu’il faut, nos travers et nos moeurs.
Avec sa loupe poétique, il nous montre, au détour d’une phrase, au croisement d’un chapitre, à l’intersection d’un point-virgule, qu’il aime vraiment sa ville.
Son style rapide, ses trouvailles pleines d’humour nous donnent l’impression que nos pensées ont le pied léger et la démarche gracieuse. ”
Bernard Haller