Genève se tient en haute estime mais les cales prennent l’eau. La société se fend comme la coque du navire. Les repères craquent. L’eau monte et je m’installe en Ajoie, terre de luttes et de mystères. Au loin, le navire tangue et déjà, un mort.
Ce roman d’amour contrarié questionne les mythes et les illusions collectives. C’est un conte philosophique. Une corne de brume au crépuscule naissant. Une alerte. Un récit à la fois local et universel sur le pouvoir et sur les valeurs.
De tous mes livres, c’est le plus personnel. Je puise dans la réalité bien sûr mais aussi dans les légendes locales. Historique, onirique, ce roman raconte l’histoire d’un homme, d’un crime, d’un monde.